Gordon Brown

Taha Balafrej publie un article sur Gordon Brown et son rôle déterminant dans la définition d'une solution de sortie de crise.

Est-ce un hasard si le seul homme de gauche à la tête d'un gouvernement d'un pays important soit à l'origine du début de solution comme le dit Paul Krugman, prix Nobel d'Economie, dans un article publié ce matin dans le New York Times?

5 commentaires:

Anonyme a dit…

BROWN a agi en LEADER plus que comme de gauche...Onze ans comme chancelier de l'échiquier cela donne de l'expérience ...Sarkozy lui est plus politicien que politique et surtout qu'économiste ou fiancier ...

Les realtiosn entre la France et la GB vont surement patir de cette situation.

Omar Rharbaoui a dit…

Ce qui est extraordinaire dans cette crise c'est qu'ele renverse totalement les paradigmes économiques libéraux en vigueur jusque là pour revenir à une vision néo keynesienne ... et qui sont les acteurs de ce changement ? à l'exception des travaillistes britanniques ... essentiellement des gouvernements de droite, libéraux bon teint et adeptes du tout marché, quel paradoxe et quel pragmatisme politique de génie!

où est la gauche (européenne, marocaine :) ) dans ce débat ? étonnamment muette.

on a l'impression que la Gauche (ou plutôt ses dirigeants)est empêtrée dans un référentiel qui s'est figé au regard des clivages traditionnels du 20ème siècle et que depuis avec la globalisation et la complexification de l'économie, elle n'arrive plus à produire du sens.

Résultat : en pleine crise financière, les sondages en Europe donnent la gauche perdante aux différents scrutins programmés.

Kamal a dit…

Well, before all, great to read from you back!!

Anonyme a dit…

Browne home de gauche la zwina hadi..
tout le monde est de gauche en ces jours difficiles , meme sarko il nationalise ses banques..

Anonyme a dit…

Brown représente un courant de Socio-libéral assez proche du libéralisme américain qu'aux notions de socialisme europpéen. DSK est aussi du même courant. Leur mérite est de définir, au sein du libéralisme, la notion de l'Etat régulateur, ce qui est une toute petite revendication de gauche dans le domaine économique. Mais la gauche pourrait mieux proposer en ce temps de crise.